... voilà que tu reviens honteux, et tu dis que je t'ai manqué, alors je fais couler un geste, juste un. Voilà comme une aube j'attends doucement la lenteur de ta vérité non dite, mais tu trébuches sur mon corps.
Voilà..., voilà que je ne te crois pas, plus.
... voilà que le sucre de ton sexe abandonné, le miel de ton envie qui semble râler, voilà que le vertige frénétique de ton souffle, m'étouffe. Et tu me parles de mon chagrin, tu dis,je comprends ton chagrin.
... voilà que je l'exhale. L'aube de ton arrivé est comme un instant de crépuscule. Je suis libre de toi.
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3 commentaires:
10 janvier 18 février oui je dis que tu m'as manqué.
:) Parfois, comme cette fois, le voyage était long, Oh!91.
"Je suis libre de toi" je retiens cette phrase pour m'entraîner à la prononcer un jour.
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