Voilà que ce soir ma plume, poussière de la pensé, s'amuse à exiler l'esprit jusqu'à toi. La présence de l'absent. Voilà que, OH... muse, parler de toi, c'est comme attarder le vent de désert. Comme vouloir, vouloir et mourir, mourir d'attendre, mourir, attendre, rêver, vivre, presque vire, vivre, vivre, vivre.
ô âme! dis-moi ce que tu es venue faire dans mon corps,
dis, puisque tu dois enfin le quitter un jour?
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3 commentaires:
Une attente en mots cadencés, à la mort à la vie, au rythme de la plume. J'aime beaucoup.
J'ai lu ton message, bougrenette, mais je ne pouvais pas y répondre. quelque chose me dérangeait. Je me suis posé la question durant des jours...
Ce mot que j'ai écrit. Ce mot, dont je me suis rendu coupable, ce mot là, me dérange. Le mot: Attendre, n'est que l'absence, le vide, la vacuité d'un sentiment.
Je n'attends pas, puisque je suis ce que j'attends.
Merci infiniment de m'avoir permis d'écrire ce sentiment autrement.
J'aime encore plus ... autrement même si
De me dire que l'attente est tout le contraire de la mort, elle n'est pas sans rien, au demeurant, ne plus le faire l'est davantage.
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