mercredi 17 septembre 2008

La désarticulation d'une présence

Revenir, et être encore la-bas à la fois. La désarticulation d'une présence. Le soleil de Tunis qui déborde sur les nuages du Québec. Vider la valise ? Cela n'a pas d'importance. La voilà,....vide. Enfin, presque ! Et après?

Il me faut du temps pour me vider de ce voyage, pour l'écrire finalement, s'en débarrasser, se libérer. Revenir à l'endroit du début, toujours. Jamais pareil, jamais le même. Toujours.

5 commentaires:

Manu Causse a dit…

commentaire stupide :
passé
lu
aimé
reviendrai

Anonyme a dit…

Yes ! ça marche ;-) donc quelques mots,certainement pas ceux d'hier car je m'étais arrêté ailleurs, sur une autre note, mais aujourd'hui j'avoue que j'aime tout particulièrement le titre de ce billet, et les mots : vide, vider, se débarrasser, se libérer. On pourrait aussi dire la matérialisation d'une absence. Amitié

Chiron a dit…

@Manu: merci pour ton commentaire précis et chargé de sens.
@ Bourgrenette: La matérialisation d'une absence, cela me va très bien. oui, c'est vraiment ça, la présence de l'absence,... ou est-ce l'absence de la présence ? Je ne sais plus;)

Anonyme a dit…

Revenir. Comment revient-on d'un voyage ? En revient-on vraiment. Et je découvre que la Tunisie est ta terre naissance.

Chiron a dit…

@ Chris-Tian Vidal : Tu as raison, je ne suis pas encore revenu de ce voyage. Je ne pense pas en revenir...

 
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